(post antérieur dont les photos manquaient, ou avait disparu )
Quittant Le Puy, je me dirige vers le troisième haut massif du Massif Central : le mont Mézenc, qui est à cheval sur la Haute-Loire et l’Ardèche (comme toutes les médailles de bronze, il est moins connu que ses deux challengers d’or et d’argent : Puy de Sancy et Plomb du Cantal) :

Mon chemin passe sur son flanc,

vers 1450 m (ce qui est un point haut de mon périple) d’où s’étendent des vues saisissantes de haut plateau :

Quelques kilomètres plus loin (guère plus bas) se trouve le Gerbier de jonc, grosse bosse volcanique à la forme caractéristique,

au pied duquel sourd ce qu’il est convenu de considérer comme la jeune Loire. Mais combien de molécules d’eau de ce modeste ruisseau parviendront-elles vraiment jusqu’à St-Nazaire ? J’ai des doutes…
Le 23 juillet 2019