Me voici passant, sur le versant méditerranéen. Juste avant d’arriver aux sources de l’Ardèche, je découvre les ruines de l’abbaye cistercienne de Mazan, dont le nom m’était inconnu mais qui, du temps de sa splendeur initiale, avait eu pour « filles » (fondations issues d’elle) : Sénanque, Le Thoronet et Sylvanès, rien que ça. Aujourd’hui, il en reste beaucoup mois qu’à Noirlac (vue il y a quelques jours) mais ceci a laissé la liberté à un artiste d’y peindre quelques grandes tâches dorées qui, vue d’un certain point de la route, prennent sens comme on le voit ici
Dès lors, les derniers hauts plateaux laissent place à des serres et des vallées profondes. J’en franchis plusieurs, ce qui me fait évoluer entre 1 100 et 1 400 m, altitudes bienvenues en ce jour de canicule, et qui m’offre encore des points de vue saisissants :
Le 24 juillet 2019.