(post antérieur dont les photos manquaient, ou avait disparu )
Quittant Le Puy, je me dirige vers le troisième haut massif du Massif Central : le mont Mézenc, qui est à cheval sur la Haute-Loire et l’Ardèche (comme toutes les médailles de bronze, il est moins connu que ses deux challengers d’or et d’argent : Puy de Sancy et Plomb du Cantal) :

Mon chemin passe sur son flanc,

vers 1450 m (ce qui est un point haut de mon périple) d’où s’étendent des vues saisissantes de haut plateau :

Quelques kilomètres plus loin (guère plus bas) se trouve le Gerbier de jonc, grosse bosse volcanique à la forme caractéristique,

au pied duquel sourd ce qu’il est convenu de considérer comme la jeune Loire. Mais combien de molécules d’eau de ce modeste ruisseau parviendront-elles vraiment jusqu’à St-Nazaire ? J’ai des doutes…
Le 23 juillet 2019



Bonne suite d’été à chacun.



Non, je ne me suis pas subitement projeté en Grèce et ceci n’est pas l’Acropole mais, tout simplement ( ! ) le palais de justice de Largentière, une de ses autres minuscules sous-préfectures (on est toujours en Ardèche) que je rêvais de visiter. De fait, au pied de ce modeste Parthénon se blottit, au pied de son château, la ville ancienne (laquelle constitue la quasi totalité de l’agglomération), qui tire son nom, et sa prospérité ancienne, de mines d’argent.Pour fêter ce 25 juillet (en remerciant, ici, ceux qui m’ont adressé un message de voeux pour ma fête, et sans accabler les autres de ce terrible oubli !) j’ai, d’ailleurs, passé la soirée en compagnie d’un fils d’amis qui se forme à la boulangerie artisanale et bio à proximité ; j’étais, moi-même hébergé, dans la même vallée, dans le camping d’une ferme pratiquant la permaculture, et au bord d’un torrent bien rafraîchissant. Tout cela est bien représentatif de ce que l’on trouve dans cette région.25 juillet 2019
Le 24 juillet 2019.











