Aurillac, Mauriac, St-Four

Je ne veux pas quitter le Cantal sans faire résonner les noms de sa préfecture et de ses deux sous-préfecture. Ma Maman, qui n’a jamais (où une fois, peut-être ? ) mis les pieds ici, m’a redit cette ritournelle sans coup férir, souvenir de ses années de scolarité dans les années 1930s (elle va sur ses 94 ans). On voit de qui je tiens cette marotte ! Mais je n’ai pas traversé ces métropoles cette fois-ci, et suis resté sur des routes reculées, ce qui n’est pas sans risque. D’une part, j »ai raté, hier, la finale du mondial. Mais, surtout, en quittant mon lieu de séjour, ce matin, mon pneu arrière a explosé et je n’avais pas moyen d’en acheter un neuf à moins de 30 km à la ronde ! Je m’en suis sorti grâce à des amis, Paul et Catherine, qui habitent à 60 km de là et qui ont pu, et bien voulu, me consacrer tout leur après-midi pour me dépanner. Je leur dois une fière chandelle. Mais ça fait réfléchir. Il est grand temps que je me rapproche du pays du pneu : Clermont-Ferrand.

Jacques, le 16 juillet.

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