Mon arrivée à Sisteron est saluée par le mistral qui descend, par ici, la vallée de la Durance. Or celle-ci, rejointe par le Buech
traverse, ici, une clue très étroite, de la largeur d’un pont, entre le promontoire où est juchée la citadelle surplombant la ville, et les lames calcaires qui lui font face :
J’en suis presque renversé en traversant ce pont, et doit m’y reprendre à deux fois, en rasant un mur, pour tourner vers le nord.
La ville, très typique mais très touristique, se blottit, prudemment, derrière l’éperon rocheux de sa citadelle.
Heureusement le mistral se calme au tomber du soleil ; je passerai une nuit tranquille.
Jacques, le 11/08/17














